vendredi 30 octobre 2020

Aviation 2000

Dans l'ordre chronologique toujours, une autre revue qui a publié mes articles à mes débuts (voir mes précédents messages) s'appelle Aviation 2000. Elle existait depuis une huitaine d'années lorsque j'ai proposé un premier article. Voici la couverture du numéro qui l'a publié (n°94 d'avril 1984) :


Il s'agit d'un reportage que j'avais réalisé, texte et photos, sur l'aéroport de Nantes où s'était installé pendant trois semaines un avion civil DC-8 assez exceptionnel. Mis en oeuvre par une association humanitaire américaine, Orbis, dédiée aux soins des yeux comme son nom peut le laisser supposer, il renfermait même un bloc opératoire. Voici la première page de l'article, qui en comporte quatre :


La photo dans cette page est donc de moi, et je me souviens que, ce jour-là, il y avait  un vent assez fort gênant les prises de vues... et gênant aussi les opérations très délicates effectuées à bord sur les yeux des patients, car à cause du vent, l'avion bougeait beaucoup...! Evidemment, il n'était pas question d'opérer en vol... L'avion servait à rendre visite à divers pays, surtout du Tiers-Monde, qui manquaient de personnels spécialisés et de matériel (les Américains considéraient-ils la France comme un pays du Tiers-Monde, pour que leur DC-8 s'y arrête...?).

J'avais bénéficié d'un gros coup de chance : un vigile interdisait quiconque de traverser le parking pour se rendre auprès de l'avion DC-8. Un monsieur qui observait mon manège m'a abordé et m'a proposé que je l'accompagne jusqu'à son propre avion, parqué non loin de là... car c'était un pilote, et il trouvait sympathique que je souhaite préparer un article sur l'avion humanitaire. Ne sachant comment réagir, et devant l'injonction du pilote qui lui a forcé la main, le vigile a dû me laisser aller sur les parkings et faire mon reportage...

L'article avait bien plu au rédacteur en chef d'Aviation 2000, Jean-Paul Philippe, un ancien pilote de chasse qui s'était reconverti dans le journalisme aéronautique. A partir de là, j'ai proposé nombre d'autres articles, au fil des années. Voici la couverture d'un numéro où un article de fond, en deux volets, sur l'avion Jaguar, fait la Une (n°103 d'avril 1985 qui a publié le premier volet) :


Dans le même numéro, j'avais publié un autre article :



vendredi 23 octobre 2020

Fan d'avions

Le début de l'année 1983 fut assez prolifique pour moi (voir les messages précédents) puisque, après la mer et les bateaux (avec la revue Océans où je continuais de travailler), après la bande dessinée (avec la magazine Spirou, en cours), je publiai pour la première fois un article d'aviation pour une revue spécialisée : Air Fan. Voici la couverture du numéro en question :


Mon article historique fait même la Une de ce  numéro, avec cette belle photo de l'avion prototype Jaguar Marine M-05, un avion de la firme Dassault qui n'eut pas de suite. Voici aussi la première page (l'article tenant sur 12 pages en tout) :


Curieusement, ce fut un scoop car aucun article de fond n'avait été publié sur ce sujet oublié des historiens aéronautiques. Pour ce faire, mon enquête avait été longue ; j'avais pu entrer en contact avec la plupart des pilotes d'essai, tant français qu'anglais, tant de Dassault que de la Marine, qui avaient eu à le piloter, comme Jacques Jesberger, qui fut très serviable, et que l'on voit ici grimpant dans le cockpit de l'avion, sur le pont du porte-avions Clemenceau (c'est l'homme en combinaison rouge) :


J'avais aussi pu obtenir une interview (écrite) de Jean-Marie Saget, pilote d'essai médiatique et vedette chez Dassault, qui avait plus d'une fois fait l'objet d'articles dans Paris-Match par exemple. A la surprise de mes confrères d'Air Fan qui s'étonnèrent que M. Saget ait répondu à mon courrier, car il était fort occupé (je raconterai une autre fois à la suite de quelles circonstances extraordinaires Jean-Marie Saget avait bien voulu répondre à mon questionnaire).

Voici une photo du Jaguar Marine en cours de catapultage depuis le pont du porte-avions, piloté par l'un des autres pilotes d'essai que j'avais eu la chance de rencontrer et d'interviewer :


Bref, beaucoup de souvenirs émouvants de cette enquête remontant à près de 40 ans, qui orienta ma carrière en profondeur. J'ignorais alors que j'allais me lancer bientôt dans l'écriture de scénarios de BD dans le domaine de l'Aéronautique navale (avec des histoires qui deviendront par la suite la série d'aviation Missions Kimono, dessinée par Francis Nicole) ; cette enquête fut donc une découverte appréciable du milieu, de ses procédures, de ses exigences, de ses pilotes émérites, de son langage, etc., et une sorte de "mise en jambes" pour mes futurs scénarios de BD. Mais ceci est une autre histoire, sur laquelle je reviendrai...

Cette enquête sur le Jaguar Marine fut également le premier pas vers de multiples autres enquêtes d'aviation, de longue haleine, dans Air Fan d'abord, sur des sujets historiques là aussi inédits et copieusement illustrés : l'affaire du Mayaguez en 1975 (en deux volets dans Air Fan), l'histoire de la flotte aérienne de la Police montée canadienne (en deux volets également), celle de la "fusée postale" testée par l'Aéronavale française, etc., ou encore celle de l'histoire de la construction secrète de la base aérienne de Thulé, au Groenland, par l'armée américaine, une enquête en deux volets là encore, dont voici la première page du premier volet paru en août 1985 :


Parallèlement, mes collaborations à d'autres revues aéronautiques se sont multipliées - ce sera l'objet de prochains messages ici même.


vendredi 16 octobre 2020

Spirou, enfin...

Le périodique dans lequel j'ai publié un travail, à mes débuts dans la presse, après Ouest-France, Océans et Amazone (voir les précédents messages), s'appelle... Spirou. Le célèbre magazine Spirou. Je dirais même : "Enfin Spirou !", après quelques années à avoir cherché en vain à placer dans divers journaux des BD dont j'étais le scénariste.

Et ce fut, d'entrée de jeu, pour un gros morceau, à savoir un long épisode de la série Quentin Foloiseau, créée peu auparavant par Jean-Luc Hiettre dans les pages du même magazine. L'histoire, premier volet d'une aventure en deux volets, est intitulée A l'est de l'Ucayali. Voici la première planche, telle qu'elle a paru dans le numéro 2340 du 17 février 1983 :


On remarque que le nom Hiettre est écrit avec un seul T dans le bandeau de titre. La coquille restera tout le temps de la publication de la BD, sur plusieurs semaines...

Voici aussi la couverture de ce numéro (dessin dû à Philippe Bercovici, jeune auteur montant à l'époque) :


Voici une autre planche, extraite du numéro suivant (2341 du 24 février 1983) :


Le thème est la recherche d'un mystérieux anaconda géant, dans le fin fond de la forêt amazonienne. Je m'étais documenté sur le sujet auprès de spécialistes, et dans la planche ci-dessus, je n'ai pas inventé la légende que raconte un personnage aux héros Quentin Foloiseau et Askelle son assistante. J'avais même obtenu des photos de serpents de belle taille, comme celle-ci, intégrée dans une autre planche de la BD et provenant du cryptozoologue Bernard Heuvelmans (qui, lui-même, 30 ans auparavant, avait "tuyauté" Hergé sur un autre animal légendaire, le Yéti que l'on voit vivre dans l'album Tintin au Tibet) :


Il s'agit d'une vue prise d'un hélicoptère en Afrique noire, et selon les indices au sol, le serpent que l'on aperçoit doit mesurer, m'avait dit Heuvelmans, 14 mètres de long...

Je m'étais aussi documenté - entre autres - au niveau de l'aviation, car pas mal de scènes aériennes ponctuent l'aventure. Voici par exemple une photo prise à l'époque de la préparation de la BD, montrant Jean-Luc Hiettre, toujours dessinateur de la BD, au pied de la dérive d'un avion DC-3 qui joue un rôle important dans l'histoire :


L'homme de grande taille à côté de Jean-Luc est mon premier instructeur quand j'ai commencé à apprendre à piloter.

Mais il faut savoir que la publication de cette BD fut une longue épreuve pleine de péripéties, parfois incroyables, que je raconterai un autre jour. Ainsi, bien avant qu'elle ne paraisse, il est arrivé un jour où j'ai reçu une lettre à l'en-tête de Spirou la refusant et me conseillant de chercher un autre magazine pour la publier - alors que dans un premier temps, le rédacteur en chef l'avait officiellement acceptée... Et alors que Jean-Luc et moi avions pourtant été payés à mesure que nous envoyions les planches à la rédaction. Et puis, finalement - ne cherchons pas à comprendre -, elle a été publiée... Bien sûr, j'ai conservé cette lettre étonnante.

Il faut savoir aussi que ce premier volet de l'aventure n'a paru que dans l'édition française de Spirou (la version internationale publiait des pages de publicités à la place des planches de Quentin Foloiseau...). Pour le second volet, intitulé Les brumes de la Serra Preta, publié là aussi après un long intervalle, nous avons tout de même eu droit à la couverture - la BD paraissait enfin dans la version internationale. Voici cette couverture (n° 2480 du 22 octobre 1985 - il y a presque 35 ans, jour pour jour, ceci ne nous rajeunit pas) :


Voici aussi une planche du second volet, extrait de Spirou en 1985, avec le bandeau de titre :



Hélas, ce sera ma seule participation au journal Spirou... Toutes mes tentatives d'y publier par la suite d'autres BD et d'autres épisodes de Quentin Foloiseau ont échoué. Refus catégorique de la rédaction, quel que soit le rédacteur en chef d'ailleurs...

Ce n'est que longtemps après, en 2002, que, devenu éditeur (JYB-Aventures), j'ai décidé de publier en album les deux volets de l'aventure pour ne former qu'un ensemble de près de 90 planches, sous le nouveau titre général : Le mystère du lac Sans nom. Pour l'occasion, les couleurs ont été refaites par Patrick Dumas, par ailleurs dessinateur des aventures d'Allan Mac Bride chez JYB-Aventures. Voici la couverture de cet album :


Ses pages de gardes ont pour illustration un fort agrandissement de la case en bas à gauche de la planche de 1985 montrée juste au-dessus. Voici l'original en Noir & blanc de cette image :


jeudi 15 octobre 2020

Missions Kimono à l'honneur

Comme annoncé précédemment, Francis Nicole était présent le week-end dernier sur la base aérienne d'Evreux, à l'occasion du festival Bulles d'Air, comme chaque année d'ailleurs. Cela valait le coup, d'autant que c'est un des rares festivals de BD qui a pu se tenir en cette année difficile : Francis a reçu, pour lui et pour les absents Andrea Rossetto et Carlo Velardi (et moi-même) un des trois prix attribués par le festival : le prix du meilleur album, le tome 20, dont il a réalisé la couverture et les couleurs (sachant que ce tome 20 entame une longue aventure se terminant dans le tome 21 sorti le mois dernier, et dont Francis a également réalisé couverture et couleurs).


Sur la photo ci-dessus, le commandant de la base lui remet le trophée du prix en question (malgré le masque, on reconnaît Francis à droite...). Le trophée a été réalisé par le personnel de la base aérienne et représente une partie de pièce d'avion. A noter que Francis avait déjà reçu un prix en 2018 sur ce même festival.

vendredi 9 octobre 2020

Animaux fabuleux

Le troisième périodique qui, dans l'ordre chronologique, a publié un de mes articles à mes débuts, avant même mes premières bandes dessinées, s'appelle Amazone. C'est dans son numéro 2 daté de janvier 1983. Voici sa couverture :


Amazone traite - ou plutôt : traitait, car la revue a disparu depuis - de cryptozoologie, c'est-à-dire de la science des animaux mystérieux : aussi bien des animaux très peu connus ou très curieux, que des animaux plus ou moins légendaires, qui vont du montre du Loch Ness à l'abominable homme des neiges (le Yéti), en passant par exemple par le kraken (pieuvre géante capable d'entraîner dans les fonds marins des navires entiers), etc. Cette revue prenait modèle sur une revue anglaise parlant du même thème : Fortean Times, qui existait depuis 10 ans.

Voici la première page de mon article, qui évoque quelques animaux fabuleux et légendaires dans les bandes dessinées francophones :


Comment ai-je pu devenir collaborateur de cette revue ? Tout simplement parce que, bien avant son lancement, j'avais été en contact avec son concepteur, lui-même cryptozoologue (si si, ça existe...), qui m'avait fourni une abondante documentation pour le scénario de l'histoire de Quentin Foloiseau A l'est de l'Ucayali, où apparaît un légendaire anaconda géant d'Amazonie (épisode qui allait paraître justement à partir de février 1983, c'est-à-dire le mois suivant, dans Spirou ; j'en parlerai ici prochainement). Me connaissant donc et me sachant fan de BD, il m'avait demandé ce petit article de 5 pages.

A l'époque, Hergé, créateur de Tintin, était toujours vivant - il décédera deux mois plus tard... -, et j'avais pu obtenir de la part de l'éditeur, sans contraintes draconiennes, contrairement à aujourd'hui, une épreuve d'un extrait de Tintin au Tibet (où intervient le Yéti ; voir ci-dessus).

Voici une autre page de l'article (où je montre un extrait de la BD de JM Charlier et A Puig L'empire de Satan, une BD qui n'avait été à l'époque que prépubliée dans Spirou, et où apparaissent des crabes et des pieuvres géants) :



lundi 5 octobre 2020

Mac Bride l'Allemand

L'éditeur belge BD Must a sorti ces jours derniers, sous son logo, une double collection d'albums de la série Allan Mac Bride : une collection en français, et une autre en... allemand. Les deux collections comportent les quatre premiers albums qui forment un long cycle d'aventures trépidantes.

La collection en français - à tirage limité et destinée au fidèle public de BD Must, ce qui permettra à Patrick Dumas, dessinateur, et à moi-même, de toucher de nouveaux lecteurs - est similaire à celle que j'ai éditée au sein de JYB-Aventures. Les seuls éléments qui changent sont : le format un peu plus grand que la version originale chez JYB-Aventures, bien sûr le logo de BD Must sur la couverture, et la "4e de couverture" que voici :


Quant à la collection en allemand, c'est une nouvelle étape pour nous puisque c'est la première fois qu'une de mes BD est traduite dans cette langue - sachant que la diffusion de cette collection débordera jusqu'en Autriche. Il semble que les commandes en Allemagne aient bien démarré, dès le mois dernier, selon les premiers chiffres parvenus chez BD Must.

A noter qu'un ex-libris accompagne chaque tome (de la version allemande seulement), avec la représentation d'un personnage phare de chaque aventure :


Mais voici un tableau montrant également les ex-libris qui figureront avec les tomes 5 et 6, à paraître plus tard ; le bas de ce tableau montre une fresque, toujours imprimée par BD Must, mais à tirage limité pour les premiers souscripteurs. C'est bien sûr Patrick Dumas qui a tout réalisé, y compris la fresque. :


Voici la couverture en allemand du tome 1 d'Allan Mac Bride :


Et une image, au récitatif et au dialogue traduits, extraite de ce tome 1, dont le titre original est L'odyssée de Bahmès :


Voici la couverture du tome 2 (Le secret de Walpi) :


Et une double image du tome 2 :


La couverture du tome 3 (L'"Oiseau des îles" - avec une complication car le nom Oiseau des Îles étant celui d'un navire, il ne peut être changé, de même que le paquebot Normandie par exemple s'appelle Normandie dans n'importe quelle langue au monde... Ce n'est que sur la couverture de l'édition allemande que le nom a été traduit, pour que le public allemand se rende bien compte qu'il ne s'agit pas d'un ouvrage en français...) :


Une double image de ce tome 3 :


Et la couverture du 4e et dernier tome, La cité des dragons :


Et une image de ce tome 4 :



vendredi 2 octobre 2020

Se jeter à l'eau

Le deuxième journal qui a publié mes travaux, chronologiquement dans ma carrière, est le magazine mensuel Océans., une revue sur la mer et les bateaux. C'était en mai 1980, dans le numéro 87. Voici sa couverture :


On voit un sticker rond sur fond blanc, au centre à droite de cette couverture. Il s'agit d'un autocollant posé là par la rédaction, pour cet exemplaire qui m'a été envoyé à l'époque par La Poste, en guise de "justificatif" comme on dit, et signalant la page où se trouve mon article.

En fait d'article, il s'agit d'un gros morceau : une enquête de fond sur la piraterie maritime contemporaine (en 1980, donc). Mais l'enquête est signée à deux ; le second signataire est Paul Robin, qui n'est autre que le rédacteur-en-chef du magazine.

Voici comment ça s'est passé : toujours avec en vue la préparation d'un scénario de bandes dessinées (sur le thème de la piraterie contemporaine), j'avais contacté un certain nombre de journaux d'informations, tant générales que maritimes, en France comme à l'étranger, pour obtenir des renseignements ; certains ont répondu, d'autres non ; à ma grande surprise, Océans, par une lettre de Paul Robin (Internet n'existait pas encore), m'a répondu que la revue n'avait pas grand chose mais que... si je voulais présenter un article sur le sujet, je pouvais le proposer. J'ai sauté sur l'occasion !

Mes premières recherches m'avaient apporté pas mal de matériel et, aiguillonné par cette suggestion d'Océans, j'ai continué mon enquête, au point d'avoir suffisamment d'informations pour écrire un document épais. Devant la masse d'infos, Paul Robin a dit "OK". Il faut savoir que les premières pages de cette revue étaient réservées à une enquête. La piraterie maritime contemporaine collait parfaitement à cette rubrique. Seulement, comme c'était mon tout premier article, et comme mon texte partait un peu dans tous les sens, Paul Robin l'a élaguée, et il a ajouté ses propres informations.

Voici la première page, avec l'illustration d'ouverture:


Voici une page au hasard, parmi la quinzaine qui fut réservée au sujet (certaines photos l'illustrant venaient de ms archives, comme celle-ci, du paquebot Santa Maria détourné par des "pirates" politisés) :


Voici la dernière page (texte cette fois sur une seule colonne) avec les signatures des deux co-auteurs :


A partir de là, ayant pris goût au journalisme, ma vie professionelle a pris une nouvelle orientation (qui perdure quarante ans plus tard). Cette enquête sur la piraterie m'avait même conduit à réaliser mon premier vrai reportage, en allant interviewer les gendarmes du centre de Rosny-sous-Bois, dont un service s'occupait de la piraterie maritime à travers le monde.

Ainsi, tout en continuant à prospecter dans la BD, j'ai multiplié les articles, dans Océans d'abord, puis dans des journaux et des magazines de plus en plus nombreux (j'en parlerai plus tard). Dans Océans, ce fut, pendant quelques années, des articles ou, parfois, d'autres grandes enquêtes comme, ici, les baleiniers clandestins (numéro 96, mars 1981) :


Ou les monstres marins (en collaboration avec un spécialiste, Jean-Jacques Barloy ; Océans 113 de septembre 1982) :


Deux de mes articles furent même annoncés dans les sommaires, accompagnés de ma photo... (comme ici, dans le n°96 de mars 1981) :